ACCORDAILLES

Published on by YVAN BALCHOY

Ton sourire de Madonne sans médaille, volé au vitrail, d'une cathédrale sans muraille, quelles plantureuses semailles de poèmes en pagailles, qui mettent nos coeurs en accordailles.

Temps dissout comme l'Eclair, secondes figées en ère, Eternité sur terre, quand tes mains engeandrent tant de frères, tes yeux se font mer et tes lèvres, mer.

Yvan Balchoï

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